Vélo - Définition

Vélo – Définition - Description

Un vélo est un appareil de locomotion terrestre, muni de deux roues alignées et de même diamètre. Le nom de bicyclette attribué au vélo viendrait donc de la présence de ces deux roues sur la machine. Le vélo est conduit par un cycliste, qui fournit la force motrice avec ses pieds et ses jambes, pour faire avancer le vélo. En général, il est en position assise sur le vélo. Mais il peut aussi être debout, pour appuyer alternativement sur les deux pédales. La transmission de la motricité se fait par la roue arrière grâce à une chaîne. Cette chaîne relie le pédalier au pignon de la roue arrière. L’appellation vélo, est l’abréviation du terme vélocipède.

Selon le nombre de roues ou de pédales constituant un appareil, et suivant son utilisation, le vélo change de nom. Un appareil à 3 roues est un tricycle. Et un vélo équipé de 2 pédales ou plus, conçu pour transporter plusieurs personnes, est appelé tandem. Il existe de nombreuses autres sortes de vélo : le triporteur, le vélo taxi, le vélo de course, le vélo tout terrain, le vélo couché, le vélib (vélo partagé), le vélocar…

Mais durant les deux dernières décennies, des vélos dit d’appartement, destinés à la pratique collective du sport en salle ou chez soi sont apparus Trois types de vélos sont disponibles : le vélo magnétique, le vélo ergomètre et le vélo spinning. Le vélo elliptique quant à lui, est aussi un modèle de vélo d’intérieur, mais ne fait pas vraiment partie des vélos d’appartement. C’est plutôt une sorte de vélo hybride, entre le vélo d’appartement et le stepper. Tous ces vélos, quelqu’ils soient, sont des appareils bénéfiques pour la santé. A tous ces modèles, s’ajoute un vélo spécialement adapté au milieu aquatique, l’aquabike. Sa pratique, l’aquabiking, combine les bienfaits du cyclisme et du massage drainant dans l’eau.

Vélo – Historique

Le célérifère

Il semblerait que Léonard de Vinci ait dessiné au XVIème siècle, un engin à deux roues s’apparentant au vélo. Mais ce dernier n’est jamais sorti du papier. Il faudrait par ailleurs, authentifier le document qui comporte ce dessin. En 1790, le Comte de Mede de Sivrac serait l’inventeur du célérifère. C’était un vélo à deux roues, qui ressemblait à un genre de cheval de bois muni de roues.

Selon la légende, on montait sur l’engin, et on courait en ligne droite pour le faire avancer. Cette machine à 2 roues aurait été appelée ainsi, parce qu’elle était un moyen de transport rapide par rapport à la marche à pied. Mais cette machine n’avait pas de système de direction. Le célérifère serait l’origine du vélo - définition. Cependant, des investigations effectuées dans les années 70, ont révélé que le célérifère, qui correspondait à la description divulguée, n’aurait jamais existé.

La draisienne

En 1817, le Baron allemand Karl Von Drais de Sauerbronn inventa la machine à courir ou laufmashine, que l’on baptisa la draisienne. C’était une machine en bois, à deux roues. Les pieds en contact avec le sol, poussaient pour faire avancer ce genre de vélo. Elle connut beaucoup de succès au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Elle reçut plusieurs noms populaires comme le hobby horse, le dandy horse, le biciped ou la trottinette. Le baron présenta cette machine la même année à Paris, avec succès. Le brevet d’importation français n’a pas tardé à venir. Il fut déposé par Louis-Joseph Dineur, au nom du baron, le 17 février 1818, pour la machine dite vélocipède. La draisienne serait donc le véritable ancêtre du vélo - définition.

La draisienne est considérée comme une sorte de véhicule à deux roues alignées. Les roues de ce type de vélo, sont reliées à un cadre en bois, au moyen de fourches. La draisienne est également équipée d’un guidon permettant la pose des mains. Le dirigeoir, un type de levier, sert à l’orientation de la roue avant. Cette roue avant peut pivoter latéralement. La technique d’avancement de la draisienne, se fait par poussée directe des pieds sur le sol, donc sans pédales.

La draisienne n’a connu qu’une courte durée de gloire. Néanmoins, à l’heure actuelle, les draisiennes fabriquées selon la technologie moderne, sont commercialisées sous forme de jouets pour enfant. La draisienne est alors désignée sous le nom de balance-bike. Ce vélo sans pédales, permet l’apprentissage de l’équilibre. C’est en quelque sorte le résultat de la suppression du pédalier et de la chaîne sur un vélo classique. La draisienne d’aujourd’hui est fabriquée exclusivement en bois ou en métal.

En 1839, le forgeron écossais Kirkpatrick MacMillan améliora la draisienne, en installant un système de pédales sur la machine. Il fut désormais possible d’avancer, sans que les pieds touchent le sol. Les pédales n’effectuaient pas de mouvement de rotation comme aujourd’hui. Elles faisaient plutôt des mouvements de va- et- vient avec les jambes. Les pieds poussaient des tiges de fer rigides, reliées à des manivelles fixées sur la roue arrière, et les faisaient tourner. C’est ce qu’on appelle le système bielle-manivelle.

La michaudine

Il a fallu attendre en 1861, la découverte des premières pédales tournantes adaptées au vélocipède. Ces pédales ou « pédivelles », étaient solidaires de la roue avant du vélo. On doit cette découverte aux frères Pierre et Ernest Michaux. Le brevet français déposé par Pierre Michaux le 24 avril 1868, fut une confirmation de cette avancée technologique. Le succès populaire de l’engin démarra en 1867.

La création de la michaudine découle du vélocipède ou encore de la draisienne avec pédales. Elle constitue une étape importante de l’évolution du vélo. La michaudine était équipée d’un système de pédalage dit rotatif. Deux manivelles et deux pédales étaient fixées au moyeu de la roue avant. En pédalant, le mouvement du vélo, se faisait grâce à la rotation de la roue avant.

En conséquence, la taille de la roue augmenta, et le châssis en bois fut remplacé par un châssis en fonte. Une selle réglable et suspendue fut installée, et des freins à patins, ajoutés sur le vélo. La michaudine ou vélocipède connut un succès commercial. L’avantage du vélocipède résidait sur l’invention des pédivelles, qui facilitaient la transmission de la force motrice des pieds, directement sur la roue avant.

Des machines identiques au vélocipède Michaux, gagnèrent le cœur des Américains après 1866. Pierre Lallement, un ancien associé de Pierre Michaux, obtint un brevet américain pour un appareil qu’il nomma bicycle. Cet appareil avait deux roues en bois cerclées de fer, et il n’était pas confortable. Des gens surnommèrent alors l’appareil, « boneshaker » ou secoueuse d’os. Les garnitures de roues en caoutchouc dur n’apparurent qu’en 1869. Elles contribuèrent beaucoup à l’amélioration du confort du bicycle, en atténuant les chocs et les bruits.

Le grand bi

Après la guerre de 1870, les vélocipèdes furent perfectionnés en Angleterre par James Starley. Le diamètre de la roue avant fut agrandi et celui de la roue arrière diminué. Des rayons de broche métalliques sous tension furent utilisés pour la première fois sur les roues, ce qui les allégea. Les avantages furent notoires : moins de vibrations, plus de résistance au chocs et une meilleure canalisation de l’énergie fournie par le pédalage. Ce principe est d’ailleurs toujours appliqué sur les vélos modernes.

Le grand bi est un vélo - définition qui était équipé d’une roue à l’avant de très grand diamètre (jusqu’à 1, 50 m), et d’une petite roue à l’arrière. Avec ce système, le vélo pouvait parcourir une longue distance en un seul tour de pédale. Il était donc beaucoup plus rapide que les autres types de vélo. Les pédales étaient solidaires de la roue avant du vélo. Les rayons métalliques creux et sous tension, remplacèrent les barreaux de bois ou de métal.

Ce vélo roulait plus vite, était plus léger et surtout plus confortable que son prédécesseur. Le premier grand bi, appelé Ordinary, connut un énorme succès en 1872. Les anglais surnommèrent ce genre de vélo Penny Farthing, en comparaison de la taille de deux monnaies anglaises (le penny et le farthing) avec celle des roues de l’engin.

Plus la roue du vélo était grande, plus la distance parcourue était importante. Tel était l’avantage du vélo grand bi. Cependant, si ce type de vélo était rapide, il n’était pas sûr. En effet, le cycliste se trouvait perché en hauteur, tout en avançant à grande allure, ce qui était très dangereux. Par conséquent, ce vélo ne connut pas un grand succès.

« La bicyclette de sécurité »

En 1879, H.J Lawson inventa la transmission de la force issue du pédalage, au moyen d’ une chaîne qui entraînait la roue arrière du vélo. L’utilisation de ce système plateau-pignon permit à la machine d’avancer plus vite, et ce, sans avoir recours au service d’une grande roue.

« La bicyclette de sécurité » était munie de roues de taille raisonnable et identiques. Ce vélo, était doté d’un engrenage plus grand à l’avant qu’à l’arrière, permettant à la roue arrière de tourner plus vite, et notamment plus vite que la cadence des pédales. L’invention du pneumatique améliora le confort du cycliste.

La conception de ce vélo était presque similaire à celle du vélo moderne. Seul lui manquait le système de changement de vitesses. Le cycliste était bien installé confortablement à l’arrière du vélo, ce qui lui permettait d’éviter une chute vers l’avant. Ce modèle de vélo connut un essor considérable.

En 1888, le succès du vélo était tel, qu’on en produisit en grand nombre en Angleterre, dans toute l’Europe occidentale et aux Etats-Unis. Trois ans après, le français Baudry de Saunier publia « l’Histoire générale de la vélocipédie ». Auparavant, personne ne s’était vraiment intéressé aux origines de ce nouvel engin.

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